Elsa Vidon, maman de Janis, aux Cotylédons l'année scolaire 2014-2015
Janis a passé une année aux Cotylédons, sa première année d'école. Je me souviens du jour de sa rentrée, où elle est entrée dans la salle de classe avec le sourire, comme si c'était évident pour elle d'être là. Maintenant qu'elle a changé d'école, elle parle encore de ses amis d'alors, d'Elodie, comme d'une deuxième famille. Quant à moi, je suis pleine de gratitude envers l'équipe éducative, mais aussi envers la communauté des parents qui font vivre ce projet avec générosité et profonde humanité.
Janis a passé une année aux Cotylédons, sa première année d'école. Je me souviens du jour de sa rentrée, où elle est entrée dans la salle de classe avec le sourire, comme si c'était évident pour elle d'être là. Maintenant qu'elle a changé d'école, elle parle encore de ses amis d'alors, d'Elodie, comme d'une deuxième famille. Quant à moi, je suis pleine de gratitude envers l'équipe éducative, mais aussi envers la communauté des parents qui font vivre ce projet avec générosité et profonde humanité.
Laetitia de Schoutheete, maman de Noé, aux Cotylédons les années scolaires 2012-2013, 2013-2014 et 2014-2015
Je fais partie du premier noyau de parents.
Mon plus fort souvenir, fût le passage de l'hiver 2013. En janvier, nous avions cru que nous allions fermer l'école : nous étions chassés du premier lieu, la référente pédagogique d'alors avait donné sa démission, on ne voyait plus de futur pour cette école.. Nous nous sommes alors serrer les coudes entre parents et nous avons usé de cette complémentarité incroyable qui s'était dessinée entre nous. Notre famille a accueilli pendant 6 mois l'école dans le salon et la chambre de Noé (non sans stress), Elodie nous a rejoint avec Vanessa, tous les parents ont été super investis.. c'était dingue, malgré l'énergie demandée..
Moi, depuis ce moment là, j'ai appris à rêver et à croire en l'impossible.
Je fais partie du premier noyau de parents.
Mon plus fort souvenir, fût le passage de l'hiver 2013. En janvier, nous avions cru que nous allions fermer l'école : nous étions chassés du premier lieu, la référente pédagogique d'alors avait donné sa démission, on ne voyait plus de futur pour cette école.. Nous nous sommes alors serrer les coudes entre parents et nous avons usé de cette complémentarité incroyable qui s'était dessinée entre nous. Notre famille a accueilli pendant 6 mois l'école dans le salon et la chambre de Noé (non sans stress), Elodie nous a rejoint avec Vanessa, tous les parents ont été super investis.. c'était dingue, malgré l'énergie demandée..
Moi, depuis ce moment là, j'ai appris à rêver et à croire en l'impossible.
Morgane Régnier, maman de Léonie, aux Cotylédons les années scolaires 2014-2015, 2015-2016
Léonie est arrivée aux Cotylédons en moyenne section, l'été 2014, alors que nous venions de nous installer à Crest. L'école venait de passer à 15 familles. Malgré les déménagements (3 les 3 premiers mois !) Léonie (comme ses copains) y a vite trouvé sa place. Elle a beaucoup aimé le rituel du passage en CP marquant la fin de cette étape, qu'elle est très fière d'avoir vécu et partagé avec ses amis.
Pour moi, l'école a aussi été un accélérateur de rencontres, d'expériences, d'apprentissage et surtout la réalisation d'un projet collectif vivant. J'ai été impressionnée, dès mon arrivée, par l'enthousiasme des familles, par la volonté et l'énergie permettant de construire ensemble.
Sur le passage en CP classique.
Ma première fille aussi fait sa maternelle en Montessori où nous habitions avant. Elle a rejoint une école classique au CP en toute simplicité à Crest quand nous sommes arrivés. J'ai apprécié qu'elle ait appris à exprimer ses émotions à l'école maternelle. Elle a ainsi su me raconter ses difficultés (surtout liées à l'absence de savoir vivre ensemble). Cela lui permettait de vérifier si ce dont elle était témoin à l'école était juste ou non et de repartir de bonne humeur et rassurée. Chapeau bas ! Elle a eu la joie de poursuivre aux Amanins en CE1 où l'a rejoint Léonie pour son CP cette année.
Pour mes deux filles, j'ai pu observer leur capacité d'adaptation dans la classe et l'école, leur permettant d'agir et de réagir avec les autres de façon adaptée. ça aide et c'est rassurant pour les parents !
Léonie est arrivée aux Cotylédons en moyenne section, l'été 2014, alors que nous venions de nous installer à Crest. L'école venait de passer à 15 familles. Malgré les déménagements (3 les 3 premiers mois !) Léonie (comme ses copains) y a vite trouvé sa place. Elle a beaucoup aimé le rituel du passage en CP marquant la fin de cette étape, qu'elle est très fière d'avoir vécu et partagé avec ses amis.
Pour moi, l'école a aussi été un accélérateur de rencontres, d'expériences, d'apprentissage et surtout la réalisation d'un projet collectif vivant. J'ai été impressionnée, dès mon arrivée, par l'enthousiasme des familles, par la volonté et l'énergie permettant de construire ensemble.
Sur le passage en CP classique.
Ma première fille aussi fait sa maternelle en Montessori où nous habitions avant. Elle a rejoint une école classique au CP en toute simplicité à Crest quand nous sommes arrivés. J'ai apprécié qu'elle ait appris à exprimer ses émotions à l'école maternelle. Elle a ainsi su me raconter ses difficultés (surtout liées à l'absence de savoir vivre ensemble). Cela lui permettait de vérifier si ce dont elle était témoin à l'école était juste ou non et de repartir de bonne humeur et rassurée. Chapeau bas ! Elle a eu la joie de poursuivre aux Amanins en CE1 où l'a rejoint Léonie pour son CP cette année.
Pour mes deux filles, j'ai pu observer leur capacité d'adaptation dans la classe et l'école, leur permettant d'agir et de réagir avec les autres de façon adaptée. ça aide et c'est rassurant pour les parents !